• En attendant que les journalistes du pays s'en occupent, des journalistes allemands du tabloïd allemand Bild Zeitung ont enquêté sur le train de vie de l'Elysée...
    Voici ce que ça donne :

    Article du Bild Zeitung

    Et en voici la traduction :

    8 avions, 61 voitures de fonction, 1 000 employés.<o:p></o:p>


    Toute la France est touchée par les mesures de récession. Toute la France ? Une personne ne joue pas le jeu : le Président Nicolas Sarkozy (54 ans)
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    Le budget de la Présidence a toujours été tenu secret en France.
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    Pour la première fois il est révélé sous Nicolas Sarkozy.
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    - Dans les 300 mètres carrés de l'appartement de fonction des Sarkozy les fleurs doivent être fraîches en permanence : coût 280 000 euros par an. <o:p></o:p>

    - Lorsque Nicolas Sarkozy voyage à titre privé, un avion gouvernemental vide l'accompagne en permanence, pour lui permettre de rentrer à Paris en cas d'urgence. <o:p></o:p>

    - Il dispose de 61 voitures de fonction, 2 Airbus et 6 avions Falcon-Jet. Le dernier avion en date (60 millions d'euros) a été baptisé « Carla » du prénom de madame Sarkozy numéro 3. <o:p></o:p>

    - Dépenses annuelles pour les boissons (Champagne, etc.) : 1 million d'euros. <o:p></o:p>

    - Il a presque 1 000 employés à son service, deux fois plus que la Reine d'Angleterre. Parmi eux 44 chauffeurs et 87 cuisiniers. <o:p></o:p>

    - Les cuisiniers-chefs peuvent se servir librement dans les caves à vin du Palais de l'Élysée, le repas de midi leur est servi par des laquais. <o:p></o:p>

    - Carla et Nico peuvent commander de la nourriture ou des boissons 24 heures sur 24. La cuisine est en service en permanence. <o:p></o:p>


    Indignation ? Protestations ? Pas du tout. En France il semble être une affaire d'honneur que le Chef de l'État incarne la « Gloire de la nation ».
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    Il est le successeur du Roi Soleil. Et c'est exactement comme tel qu'il vit.


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  • Le centre d'analyse Oxford Economics a rédigé un rapport sur l'impact de l'épidémie de grippe A sur l'économie déjà mal au point, au Royaume-Uni et dans le reste du monde. Ils se sont basés sur une infection de 30% de la population et d'une mortalité de 0,4%, ce qui donnerait en France 1,92 millions de personnes infectées et 768 000 morts, sans compter la grippe saisonnière.


     


     

    Comme pour le SRAS en 2003, le tourisme et les transports seront touchés, secteurs qui représentent seulement 16% des exportations de services au Royaume-Uni mais près de 80% en France.
    De plus, les salariés malades ne se rendront pas à leur travail et la prise de médicaments auront un coût, sans compter les mesures gouvernementales qui interdiront la circulation. Les lieux de grandes concentrations (gares, transports en commun, cinéma, concerts, ...) seront aussi évités, pénalisant aussi la sacro-sainte croissance du PIB.

    Ce qui pourrait déclencher une déflation sur plusieurs années, chez les Britanniques en tout cas. Voici plusieurs scénarii :

     

     

    Il en existe 2, un avec déflation et l'autre sans.

    Sans déflation, il y aurait un petit décrochage des prix de 1%, soit quelque chose d'imperceptibles pour nous consommateurs et un retour à une inflation de 1% par an. Le PIB affecté par la grippe serait sensiblement le même que sans pandémie en 2013.

    Par contre avec une déflation durable de -1% par an jusqu'en 2013 aurait pour effet de créer autant de richesse en 2013 que cette année.

    Mais ceci n'est que pour le Royaume-Uni, avec peu de systèmes de protection, contrairement à l'Europe continentale, tout en pensant que l'épidémie sera importante, ce qui, pour le Royaume-Uni, est quasi-sûr aux dires de ce même rapport :

    In the UK, health authorities have admitted that contagion is out of control. The Health
    Secretary made the alarming statement that there could be 100,000 new cases a day by the end of August.

    Ce qui signifie en bref que l'épidémie est hors de contrôle selon les autorités sanitaires et que le nombre de contaminés grimpera à 10 000 personnes par jour fin août.


    Rassurant n'est-ce pas ?

    Le rapport est disponible ici : Will swine flu push the world into deflation? 


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    8 invités, 4 importants (des ouiouistes bien sûr : X. Bertrand, M. Aubry, F. Bayrou et D. Cohn-Bendit) et 4 figurants (O. Besancenot, J-L Mélenchon, M. Le Pen et P. De Villiers), dans une émission qui ressemblait plus à une arène qu'à autre chose avec une Arlette Chabot qui ne servait à rien quand elle n'avivait pas les tensions...
    Si vous tenez les 2 heures sans devenir sourd, je vous dis chapeau Rigolant

    L'ambiance : Bayrou et Cohn-Bendit qui s'insultent en live, Le Pen qui aboit, De Villiers qui se lamente. Seuls Mélenchon et Besancenot avaient l'air de garder leur calme...
    Ca a fini, comme Mélenchon le sort dans la seconde vidéo, que les petits se sont mis dans leur coin pendant que les autres se balançaient des cris...


    Pour résumer l'ambiance, voici la réaction de Jean-Luc Mélenchon sur le plateau de Denisot :


    Bonne séance...


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